Dakardantan Index du Forum Dakardantan
Le site des premiers Paris Dakar
 
accueilAccueil  FAQFAQ   RechercherRechercher   Liste des MembresListe des Membres   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

DATSUN KPL 810 n°135: Jean-pierre LAMBERSENS/Denis TRANCHANT

 
Ce forum est verrouillé; vous ne pouvez pas poster, ni répondre, ni éditer les sujets.   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    Envoyer ce sujet à un ami    Dakardantan Index du Forum -> Paris Dakar 1983
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Jeff



Inscrit le: 07 Sep 2004
Messages: 2539
Localisation: Roanne

MessagePosté le: Lun 19 Mar 2012, 18:53    Sujet du message: DATSUN KPL 810 n°135: Jean-pierre LAMBERSENS/Denis TRANCHANT Répondre en citant

Voici le récit que Jean-Pierre Lambersans m'a fait passer il y a déjà quelques années... L'histoire se passe lors du Dakar 83, le Samedi 8 Janvier 1983.. Jean-Pierre en est à son second Dakar (première participation en 1981 http://www.dakardantan.com/paris-dakar-1981/lambersens-morand,datsun+,146.html ).... Cette fois, il repart toujours sur une Datsun 2rm, avec un nouveau copilote:










"Il est 6 heures 55 minutes. Un peu dur de s'arracher de la faible chaleur emmagasinéepar le sac de couchage que le corps a tempéré au cours de cette brève nuit. Pas possible non plus de fainéanter, ne serait-ce que quelques minutes...car à 7 heures, il est préférable d'être présent, quelque cent mètres plus loin, au briefing de Thierry SABINE, d'autant plus que l'étape d'aujourd'hui s'annonce très "costaud", nous le savons tous.



Je sors quand même le bout du nez aux tintements des cuillères et des gamelles et au bruit des premiers moteurs.

Avec Denis, mon coéquipier, nous alternons un jour sur l'autre la présence à ce speech qui nous donne les ultimes et précieuses informations concernant l'étape du jour. De cette manière, l'autre s'offre une demi-heure de sommeil en plus, ce qui est toujours bon à prendre. Ce matin là, donc, c'est avec les yeux enfarinés mais l'oreille attentive que je note les éléments importants qui peuvent être décisifs quant à notre présence à l'arrivée ce soir.

Aujourd'hui c'est l'étape BORJ-0MAR-DRISS / ILLIZI.

Ce qui caractérise cette fameuse étape, c'est le sable, beaucoup de sable. Des dunes entières de plusieurs centaines de mètres de hauteur, des oueds géants de plusieurs kilomètres à franchir, en toutquelque 50 % de sable mou sur les 400 kilomètres de cette spéciale chronométrée.

C'est en trempant quelques minutes plus tard le pain dans ma gamelle de chocolat que je me dis qu'il faut bien manger ce matin. Nous allons dépenser beaucoup de calories, nous aurons besoin de toute notre énergie pour amener la voiture à ILLIZI. Nous courons en effet sur une voiture 2 roues motrices, et c'est justement là que se trouve la difficulté.

Bien sûr, les 4x4 ne se font pas trop de soucis pour ce qu'ils vont vivre dans les heures à venir : 2 ponts, deux fois plus de force et de facilité pour avancer. Mais ils sont à peu près 160. En deux roues motrices, nous sommes une vingtaine. Nous avons en plus du classement général à DAKAR un classement à part dans notre catégorie. C'est donc plus séduisant de miser une place dans les 3 ou 5 premiers de notre catégorie, ce qui devient impossible dans la catégorie des quatre roues motrices où les usines sont les reines, et où beaucoup font de la figuration. Encore faut-il bien sûr avant de parler classement que nos "caisses à boulons" qui se tortillent dans tous les sens supportent jusqu'au bout l'enfer des reliefs et du terrain Africain ! Car les hommes eux le supportent : ceux qui partent en 2 roues motrices ne sont pas des fous, mais des passionnés jusqu'au bout des doigts. Ils savent ce qui les attend, et sont généralement mieux aptes physiquement que certains promeneurs de 4x4. Ils n'abandonnent pas, mais sont contraints d'abandonner, mécaniquement parlant (tout comme la plupart des motards amateurs, à qui il faut tirer d'ailleurs un coup de chapeau).

Le ventre bien rempli, après un copieux petit déjeuner au camion d'Africatours, je marche dans le froid et le jour qui se lève en direction de notre voiture, les mains recherchant un peu de chaleur au fond des poches, les yeux fixés sur cette sacré DATSUN 1800 puissante et bien préparée certes mais quand même bien légère pour ici !


Je réveille Denis qui a juste le temps d'aller prendre son petit déjeuner. Le camp est maintenant bruyant, chacun mettant au point son moteur et son blindage. Il nous faut attaquer nous aussi comme chaque matin les révisions qui s'imposent. Ce matin, en plus des niveaux et des bricoles, nous avons du travail sur la planche. Le réservoir d'essence qui commençait à bouger la veille doit être absolument refixé solidement: 140 litres qui se baladent, même de quelques centimètres, ça la fout mal! Les deux supports d'amortisseurs avant aussi ont une fâcheuse tendance à se rapprocher l'un vers l'autre (l'ensemble avec les ailes s'est incliné de 3 centimètres de chaque côté, vers l'intérieur, commençant à coucher un réservoir à lockheed après en avoir carrément enlevé le couvercle). Les deux feux de gabarit obligatoires sur le toit étaient à deux doigts de se faire la valise, emportant avec eux deux centimètres carrés de tôle arrachés par les vibrations.

Sachant que notre départ, d'après le classement, se situe aux alentours de 10 heures, cela nous laisse deux heures pour être prêts. On se partage les tâches. Pendant que Denis s'affaire à trouver la cause de la panne électrique qui nous a coupé tous codes et phares la veille au soir... (les veilleuses marchaient merci...), j'arpente de mon côté tous les alentours du campement à la recherche d'une barre de fer ou d'un tube d'un bon mètre, afin de relier les deux supports d'amortisseurs pour solidariser l'avant et stopper le rapprochement en question. Je le trouve en quelques minutes auprès d'une vieille cabane militaire. Il y a toujours une solution dans des moments comme ceux-là. Un coup de scie, aplatir les extrémités, deux encoches et c'est boulonné‘! Soudé aurait été mieux, mais à cette heure les camions d'assistance des Teams ont rangé leur poste à souder, leurs protégés partant dans les minutes suivantes.





Denis ne trouve pas la panne. C'est normal, l'électricité c'est très complexe. Pas de temps à perdre avec ça. "On branche en direct" ; une cosse, la pince, c'est arrangé. Maintenant, sans traîner, le réservoir à lockheed. Caoutchouc, serflex, ça tient fermé. Denis termine au fil de fer pour tenir le serflex bien en place (il vaut mieux avoir des freins I). Je fonce trouver un morceau d'alu chez un mécano coopérant d'une équipe de motos, quatre coups de scie, quatre trous, et voilà quatre grosses rondelles pour reboulonner les deux feux sur le toit. "Vite, clé de 17" ; les plaques de protection, le sabot de blindage en dessous, l'arceau ; "clé de 10, tournevis" ; le radiateur, tout est à resserrer sur cette fichue auto, tous les natins! Les vibrations dues à la tôle ondulée des jours précédents ont desserré absolument tout!

Le temps passe trop vite. C'est bientôt l'heure... 0n remballe, on plie outils, bidons, sacs de couchage; on fixe, on attache, on sangle. Puis on se dirige vers le lieu du départ en se demandant si tout est en ordre. Dernier coup d'œil au réservoir.
C'est bon, il faudra que ça tienne. Les plaques de désensablage sont bien rangées derrière, prêtes à servir. Le harnais ajusté, les casques sur le siège. Il nous reste à peu près dix minutes...On respire.

C'est à Denis de prendre le volant ce matin. On alterne également le pilotage. Je me plonge dans le roadbook, ce que nous n'avons pas eu le temps de faire, pour préparer la navigation. C'est bien regrettable. "C'est vrai, à 9 kilomètres il faut changer de cap, il l'a dit ce matin au briefing". "135 au départ !" 5‘..û‘.’3..‘2...1... c'est parti!"

A+
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur
olep



Inscrit le: 14 Mar 2007
Messages: 1197
Localisation: 94 - La Varenne Saint Hilaire (Saint Maur des Fossés)

MessagePosté le: Mar 20 Mar 2012, 00:32    Sujet du message: Répondre en citant

Super ! Merci. Very Happy
_________________
Qui fait le malin...tombe dans le ravin !
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Jeff



Inscrit le: 07 Sep 2004
Messages: 2539
Localisation: Roanne

MessagePosté le: Dim 25 Mar 2012, 21:22    Sujet du message: Répondre en citant

"C'est reparti pour la journée,ou peut-être plus!

Deux, trois kilomètres... Ca roule bien, ça ronfle bien. "J'espère que les portions de dur seront bien roulantes". A peine cette phrase criée dans le bruit infernal que nous entrons sur la tôle ondulée. Ça y est, ça commence bien ! Déjà, dans les deux étapes des jours précédents, nous avons eu 70 % de cette tôle ondulée de malheur qui nous descend à chaque fois la moyenne. Impossible de rouler vite là-dessus avec de petites roues, même de 14. Ça déglingue tout.



Les 4x4 partis après nous nous rattrapent déjà, nous passent devant à 100 -120. Voilà comment la veille nous avons ramassé 15 heures de pénalité: nous sommes arrivés le soir deux heures trente après la limite du temps qui nous était imparti pour la spéciale scratch. Et voilà que çà recommence, dès le départ. Denis lève le pied, le compteur descend à 20 km/h. Les boules!!! Tant de chevaux sous le capot, et ne pas pouvoir en profiter. Quand on le peut, d'habitude, on tire un peu sur la gauche ou sur la droite, (ce n'est pas de la politique mais une tactique..), en hors-piste où souvent c'est moins cassant. Mais là, pour le moment c'est délicat ; régulièrement de grosses saignées nous barrent le passage en travers, qu'il faut franchir au pas. Fort heureusement, la tôle ne dure qu'une vingtaine de kilomètres. Puis c'est lisse, du dur, très roulant. Grand "OUF". La vitesse remonte ... 100 - 120 - 130. Pourvu que ça dure.
Succession de grandes et longues bosses douces qui balancent la voiture sans lui faire de mal et qui bercent les cœurs. Une demi-heure passe ainsi, puis un deuxième changement de cap important sur la gauche, plus vers l'Est. On est seul. Denis roule bien, il se fait plaisir. Nos yeux, toujours rivés loin devant, aperçoivent en même temps trois ou quatre véhicules sur la piste qui devient très très large, tous arrêtés. Mais oui, ils sont ensablés. D'accord.... compris. "Arrêtons, on va étudier".



L'expérience d'un DAKAR précédent m'a fait lancer ces mots ä Denis. On perd du temps, mais c'est la sagesse. Il vaut mieux sacrifier trois ou 5 minutes que risquer d'en perdre trente à désensabler. Il s'arrête pendant qu'on est encore sur le dur. Je cours casque à la main sur quelques centaines de mètres; c'est bon, ça va passer par là, sur la gauche. Un repère, un morceau de câble rouillé qu'il faudrait prendre à deux mètres des roues. Je reviens, je prends le volant car j'ai le passage dans la tête.
J'y vais seul, ça fait moins de poids dans la voiture. Deuxième, plein pot, 30 secondes. Ca a passé. Je m'arrête ä nouveau 500 mètres plus loin sur un sol dur. Denis me rejoint en courant et reprend le volant. Les autres véhicules, derrière, sont en train de se battre avec le sable.

Allez feu, encore 5 mn de perdues, il ne faut pas traîner.

Première, deuxième, troisième. Ca tourne à nouveau comme une horloge. Je lui annonce les repères que je lis sur le road-book. C'est bon, un fût à gauche, un cairn à droite au kilomètre tant. Nous sommes sur un terrain en alternance de dur et de mou. Quelques virages distincts de sable plus ou moins délicats ne posent pas trop de problème à Denis, qui en est à son premier DAKAR, mais qui commence à bien se faire à ce sable pour l'avoir appris à ses dépends les jours précédents (un ou deux ensablages dans des portions de 20 ou 30 mètres). Maintenant il met la puissance quand il faut, où il faut.

Un ou deux kilomètres passent ainsi quand soudain, surprise, au sommet d'une grande bosse s'offre à nos yeux une immense étendue de sable, de plusieurs kilomètres.



Elle commence là, presque sous nos roues. Trop tard, plus le temps d'étudier et d'analyser. "Plein pot ! sors les chevaux! tire droit surtout ! ". Il l'avait bien compris, à peine ces mots lancés, la voiture prend de la vitesse. Encore quelques dizaines de mètres de sol dur qui lui permettent de se lancer au maximum, et l'on pénètre dans cette mer de sable.

Alors là c'est l'angoisse! On sait tous les deux que si l'on reste là-dedans, on y est pour une semaine ...

Grand silence... seul le bruit du moteur à plein régime.

Des tas de traces droites ou légèrement bifurquantes se dessinent dans tous les sens, chaque concurrent précédent ayant choisi une ligne où le sable risque de mieux porter. Denis fait la même chose. La voiture à fond en troisième se balance â droite et à gauche d'une trace à l'autre. Il garde les roues droites, c'est un impératif. C'est très bon. Il sait que plus il les tourne pour changer de traces plus la voiture perd de sa puissance.
Légère montée à quelque cent mètres. Mince ! Pourvu que l'on puisse garder la troisième. Et le sable devient encore plus mou, comme par hasard. Le régime baisse. Les doigts de pieds se serrent dans les baskets.... Dans ces cas là, quand on le peut, il faut essayer de garder la troisième ou la quatrième, ce qui donne une marge plus importante avant d'en arriver à la première. Mais là, au bruit du moteur, la deuxième s'impose. Denis la passe sans perdre une fraction de seconde, au moment exact où il le faut pour ne pas perdre le moindre élan. La voiture monte bien cette faible pente, sans ralentir.



Denis se bat toujours avec ces traces; il ne dit rien, concentré au maximum pour ne pas s'y faire piéger, et trouver une issue pour en sortir lentement, afin de se mettre sur le sable vierge. J'essaie pour ma part de suivre le roadbook, vérifiant pour la forme que l'on est bien sur la bonne piste, bien que ce soit évident. Mais ça donne confiance de se trouver devant un quelconque repère signalé.

La logique veut qu'une montée engendre une descente, ce qui permet à Denis de repasser la troisième et même la quatrième. Quelques secondes seulement...ça fait trop limite. Re-troisième, pour un bon petit moment. Ça va mieux. L'inquiétude s'atténue.

Toujours du mou, mais la vitesse est là, rassurante. Deux ou trois minutes, puis voilà à nouveau une montée. Et pas très attrayante cette fois-ci. Longue et rude sur 500 à 600 mètres. "V'là aut'chose!!!". Et elle s'approche à toute allure. Vite, on analyse des yeux. Il faut trouver, au juger, la meilleure solution. Le rôle du copilote y prend toute sa place. La même idée nous vient, à tous les deux. "Là, à droite !". Mais oui, il faut couper, sinon là-haut on ne pourra pas tourner à 60° comme la piste et le road-book l'imposent, sans se faire ralentir ou même stopper par la puissance du sable.

Toujours à fond, les roues tournées lentement et habilement par Denis nous emmènent sur ce sable vierge, complètement à droite, en direction d'un camion arrêté au somet, sur une fabuleuse arête de dune. Majestueux, impressionnant, un camion sur la dune aux couleurs rougeâtres. Il nous sert de repère. On tire droit dessus. C'est le camion d'intendance d'Africatours.



Pourvu qu'on y arrive, sinon on est vraiment pas clair. Hais au fait, s'il est arrêté là-haut c'est bon signe, c'est qu'il y a du dur. A moins qu'il ne soit ensablé ... La première solution nous semble la plus séduisante. Re-deuxième et cette fois "Inch Allah" !".
Vingt bonnes minutes passent ainsi à jongler avec ces éléments, seuls, dans ce décor merveilleux au relief inhabituel et aux couleurs variées quand, 'au pied d'une descente importante, cinq ou six Land Cruisers 4x4 nous offrent le spectacle de leur lutte. Leur objectif est de monter sur une arête raide d'une vingtaine de mètres.

Nous arrêtons l'auto au milieu de la descente en appréciant la distance qui nous permettra de prendre l'élan suffisant pour la grimpette en question. Nous allons ensemble a pied pour aviser, les oreilles pleines du bruit de ces pauvres moteurs "Toyote" qui sortent vainement leurs tripes, sollicités par leur pilotes qui n'ont pas trouvé mieux que de prendre bêtement les traces énormes. Il n'existe pas de véhicule miracle.

Le sommet est vraiment une arête, plus ou moins ronde où il y a les traces, mais sèche à l'endroit - seul endroit d'ailleurs - que l'on va, nous, emprunter. Il faudra juger exactement la vitesse pour ne pas décoller et pas non plus rester plantés dans la montée.

Nous nous regardons, comprenant que tous deux désirons faire ce petit passage excitant. Trente secondes après, je regarde Denis prendre son élan. C'est normal, deux jours plus tôt je m'étais fait plaisir lors d'un obstacle de ce genre, une montée complètement débile. Chacun son tour! Impérial, il passe dans une gerbe de sable. Je monte à ma place et l'on repart sans difficulté dans une longue et douce descente. On reprend de la vitesse. Nous doublons pas mal de véhicules, contents de remonter un peu les 20 km/h de moyenne de la tôle ondulée matinale.

Au total, une vingtaine de kilomètres se sont passés dans ces dunes, pour nous amener progressivement sur des cailloux. La moyenne redescend. C'est comme ça, il ne faut jamais parler trop tôt, c'est bien connu. Il y a constamment des surprises. Ça devient de pire en pire. On descend sans cesse, dans des zigzag de cailloux. On passe un petit oued défoncé, puis une grande plaine se présente à notre regard, Simple dans sa beauté. Mais cette fois c'est une plaine dure, de cailloux et de rochers. Oui, "dur dur" pour les pneus. On a intérêt à regonfler, et vite. C'est ce que l'on fait, juste après avoir pointé au contrôle de passage bien situé cette fois-ci à l'endroit que SABINE avait mentionné le matin.



La pompe à main, l'huile de coude, il faut bien 5 mn par pneu et sans dormir! Ça fait tout de suite vingt minutes de perdues. Ça aussi c'est la course ; nous hésitions à gonfler un quart d'heure plus tôt des l'apparition de cailloux ne sachant pas s'il y aurait du sable tout de suite. Là, pas d'hésitation, le terrain qui suit est éloquent à ce sujet. "

...
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Visiter le site web de l'utilisateur
Montrer les messages depuis:   
Ce forum est verrouillé; vous ne pouvez pas poster, ni répondre, ni éditer les sujets.   Ce sujet est verrouillé; vous ne pouvez pas éditer les messages ou faire de réponses.    Envoyer ce sujet à un ami    Dakardantan Index du Forum -> Paris Dakar 1983 Toutes les heures sont au format GMT + 2 Heures
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum


Powered by phpBB © 2001, 2011 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com - phpBB SEO